jeudi 6 novembre 2008

dimanche 26 octobre 2008






La dernière feuille de l'arbre est tombé,
étalé sur le sol noyé par la saleté,
Comme la dernière page du livre de ma vie
et le temps passe et tout dépéri

Et le vent souffla , violent de rage
faisant défiler les pages
d'un destin bien trop commun
d'une feuille et d'un humain.

Vivre sous le soleil mais ne pas connaître sa chaleur
caché bien profond, étouffé par ses soeurs.
Se faner quand tout autour rayonne de vie
cruelle vérité,on est seul quand on vit

J'ai attendu l'hiver patiemment
les choses changent peu être quand tout est blanc
Et les feuilles sont tombés
libérant leurs prisonniers
Celle qui n'a pas connu la chaleur de l'été
meurs sous celle de l'hiver.
Et moi comme elle j'ai voulu
J'ai essayé , j'ai vécu

Emprisonné dans ma chair
je m'étouffe je n'en peu plus
J'ai oublier la chaleur de l'amour, comme celle de l'été
glacé par l'hiver de la solitude je meurs abandonné

Comme la feuille qui recouvre mon front ,dans le caniveaux
j'ai vu un rêve j'ai toucher un fardeau
La chaleur du sang qui coule sur ma tempe me rappel un souvenir
un songe aliéné,un délire
les bras d'un homme ou l'été était la
mais il s'effile trop vite , de tout ça j'étais las

dimanche 12 octobre 2008

D'un revers de main tout fut balayé,
un coup d'estoc, un coup d'épée,
Comme une tornade sur ma vie
en un instant tout était finit

Une seule parole avait bouleversé mon âme
brisé la frontiere que j'avais placé devant mon coeur
même si je me prepare au pire et a ses malheur
je reste une simple femme.

Je croyais que rever et sourire
supprimerai douleur et martyr
mais rien ne peu combler se vide si profond
ce gouffre ou se jette mes espoirs a l'unisson.

Marchant sur le fil de la lame
aiguisée , hache de bourreau,
J'essaie de ne pas tomber
Toujours a quelquechose me rattacher.

Las a l'infinie , poignarde moi
pour une fois mon ami
laisse moi me reposer enfin,
plus de souffrance , plus de chagrin

mardi 5 août 2008

Les petites bourettes

Du sang sur ma chemise.

Kimi ga nozomu Eien


Sans doute l'animé qui m'a fait le plus pleurer ...et en meme temps celui qui m'a appris qu'il faut envers et contre tout donner l'impression aux autres que tout ira toujours bien, penser a eux plutôt qu'a soit.

Synopsis

Dans un lycée japonais banal, Mitsuki Hayase cherche à se rapprocher de Takayuki Narumi, afin de permettre à sa meilleure amie, Haruka Suzumiya, de se rapprocher du jeune homme, dont elle est secrètement amoureuse. Avec Shinji Taira, le meilleur ami de Takayuki, ils forment bientôt un quatuor inséparable. L'histoire commence lorsque Haruka finit par avouer ses sentiments à Takayuki. Sans vraiment savoir pourquoi, et pour ne pas la blesser, Takayuki accepte de sortir avec elle. Après des débuts difficiles, leur relation devient plus intime, tandis que Mitsuki se pose des questions sur ses sentiments à l'égard de Takayuki ...

Le destin bascule lorsque Haruka est victime d'un accident de voiture et tombe dans un profond coma ... Pour les 4 amis, rien ne sera plus jamais comme avant ...

Accacia


Voila une chanson qui m'a particulièrement touchée...
Je ne sais pas pourquoi mais elle évoque des images dans ma tête assez proche de mon état d'esprit je vais essayer de faire un petit amv des que j'ai le temps, ou voir l'illustré .

lundi 4 août 2008


Brisant ma chrysalide,je déploie mes ailes,
vie ephemere , je reponds a ton appel.
De loin une lumiere blafarde m'attire,
je rentre dans sa danse, martyr.

Je m'approche toujours plus pres,
elle brille de plus en plus
une chaleur me reconforte en secret
endormant ma mefiance et ma vue.

Je me suis brulé les ailes
a croire en l'impossible
a vouloir , fragile
j'ai finis sous terre , faible.

Privé de ma liberté,
je la regarde tjrs brillé
la haut dans le loin , mon etoile
mon amour, tout s'etiole

je me fais dévorer par la terre
elle m'emprisonne , me souille
mon coeur rejoins les enfers
mon ame se couvre de rouille.

J'ai vécu ephemere
une vie solitaire
j'ai cru un instant touché le bonheur
mais dans ma prison de verre
je ne vois que malheur,et douleur,
amoureux tortionnaire.

Pourquoi je ne suis pas morte
en tombant de si haut
Pourquoi faut il encore être forte
quand frappent les bourreaux.

Juste m'enfuir
Juste avoir le courage de partir
Juste ne plus souffir
Pouvoir enfin mourrir

lundi 7 juillet 2008

Ange noir

L'ange noir au trefond de mon âme
se reveille doucement
me torturant de ses armes
abusant de mots blessant.

Par sa simple presence mon corps entier se paralyse
je ne vis plus vraiment
mes yeux ne vois plus que ce qu'il autorise
trahison ,haine et chatiments


Mes yeux pleurs des larmes de sel
dont les cristaux ecorchent ma peau
le sang se repend le long de mes ailes
me conduisant a l'echafaud


je voudrais tellement me reposer dans les bras de l'ange
acceuillante demeure final
laisser mon ame voguer au lointain
ne plus penser a rien

ne plus sentir de douleur
oublier tristesse et malheur
Juste mourir doucement
et rejoindre les etoiles au firmanent

mercredi 25 juin 2008

J'ai l'impression qu'un poids
comprime mon coeur
une lancinante douleur
fait vaciller ma foi

Vouloir vivre pour soi
mais ne savoir le faire
j'ai besoin qu'il y es toi
pour etre forte et fier

mon ame morceller reduite
en eclats de verre
sombre petit a petit
dans la noirceur d'un hiver

immoler dans mon propre corps
l'impression d'etre moins vivant que mort
il manque quelque chose a ma vie
un reflet, une chaleur un ami

La solitude au milieu du monde m'exaspère
j'ai l'impression d'etre un marginal austere
me sentir perdu dans la foule
me noyer dans son flot qui coule

n'etre rien ni personne
juste une fourmi solitaire
une degenerée mortifere
dont la douleur resonne.

mardi 17 juin 2008


IL y a cet homme pour qui j'ai des regrets
IL y a cet homme pour qui mon affection a perdurer
Il y a cet homme que je hais
Il y a cet homme qui continue a me hanter.

Il y a celui que mon coeur desire
Celui qui par tout vent s'eloigne
malgré mes paroles mes sourires
Seul mes pleurs l'accompagnent.

De tout ceux qui parcourent ma vie ,
il y a celui qui est tt a la fois amour et folie
De ces hommes que j'ai appris a aimé
il ne reste rien que les regrets

lundi 2 juin 2008

Déçu

Aujourd'hui je suis deçu par celui que je croyais mon ami
Déçu qu'il n'est pas grandi
Déçu qu'il ne pense qu'a la luxure et au sexe
Déçu qu'il n'ai jamais compris
Déçu qu'il pense si peu a lui
Déçu qu'il détruise betement sa famille
Déçu qu'il retourne avec une s*****e
Déçu qu'il profite si souvent de moi
Déçu qu'il m'oublie si souvent
Déçu qu'il n'agissent qu'en adolescent post pubere
Déçu qu'il reste avec quelqu'un par pitié
Déçu qu'il ne sache pas dire non
Déçu qu'il ne voit pas ou est le mieux pour lui
Déçu qu'il renie ce qui est sa vie
Déçu qu'il mente aussi souvent
Déçu qu'il trompe tout le monde
Déçu qu'il n' ecoute pas son coeur
Déçu qu'il prefere vivre dans le malheur
Déçu qu'il n'ecoute pas les sages
Déçu tout juste par lui un peu plus chaque jour.

Oui, je suis deçu par toi Mat...vraiment bcp cette fois

samedi 31 mai 2008

Allongé sur le sable
je ne veux pas voir le ciel
s'y refleterai l'inacceptable
aux couleurs ocre et miel.

Le bonheur semble s'enfuir
toujours plus loin de moi
je n'ai plus la force de courrir
apres lui comme tant de fois.

Je veux juste rester la
a ne rien faire , a ne rien croire
fermer les yeux, m'enterrer dans le noir
je suis epuisée par tout ça

Je repense,
mais il ne faudrait pas
au souvenir d'enfance
a quand il était la.

A autrefois, il y a longtemps
a tout ce qui fus perdu par le temps
ne pas se retourner est presque impossible
même si je veux rester infaible

J'ai le coeur qui déraisonne
Il sonne le cors
la chasse resonne
mais je refuse ce coup du sort

je prefere rester les yeux fermés
attendre que tout soit terminés

jeudi 29 mai 2008

Vive les beaux gosses !! mdr

Voila quelques photos, d'un garçon qui compte beaucoup pour moi!!
Mon meilleur ami,et bien plus encore!
bisous a toi si tu lis ces mots... tu vois je pense quand même a toi ;op



ET la il veut tuer le chat!!!


tu reste mon petit prince ;o)que les anges veillent sur toi.

mardi 27 mai 2008

Citation

Un ami, m'a dit ceci hier...

"Ne quitte jamais la personne que tu aimes pour celle qui te plait.Car la personne qui te plait te quittera pour celle qu'elle aime."

il ne se souvenait plus d'où elle venait mais c'est tellement vrai...j'ai toujours agit comme ça...l'amour avant la passion, le coeur avant le physique...suis-je si rare?

lundi 26 mai 2008

faiblesse


Chaque jours qui passent,je me sens plus faible...toujours plus epuisée.Pourtant je me nourris et je dors ...mais c'est comme si mon corps se refusait a faire l'effort de ce mouvoir.
Les medecins je les ai vu...bien trop , bien trop souvent a mon gout, c'est psychosomatique il parait..c'est mon esprit qui me détruit mais bien sur...tout ça pcq ils ne savent pas.
C'est vrai je ne le nie pas quand je suis heureuse je me sens mieux...mais ce bonheur est toujours ephemere ,alors que la douleur elle ne disparait pas vraiment ,elle se met pê en sourdine un peu.

Haa je survivrai ,je survie tjrs je suis une BIET et les Biet ne sont jamais vaincu!!!et picarde de surcroit presque immortel mdr.
Pê oui mais las ...sans nul doutes, tres las.

samedi 24 mai 2008

Ennui

Je m'ennuie bcp aujourd'hui...ba je vais faire un peu de menage pour m'occuper ...c'est vrai qu'avec Gaby je m'ennuyais pas, le temps passait meme trop vite,deja vu le nombres de gaffes que je faisais et ma maladresse c sur que j'avais pas le temps de m'ennuyer...on riais bcp s'etait vraiment bien...
On a fait beaucoup de choses ensemble et vraiment j'ai adorer tout ça.
La j'y repense pcq d'habitude en rentrant du travail, il était la et savoir qu'il y a quelqu'un qui vous attends c vraiment grisant.
Beaucoup de bonnes choses, j'ai arreté de fumer, j'ai lu pleins de livres interessant , j'ai appris plein de choses, vraiment je sens que j'ai bcp evolué , ça fait vraiment du bien d'avoir été avec quelqu'un comme lui.

Aller arretons cette disgression et op on va faire un bon flan aux oeufs....même si cette fois je cuisine pour moi toute seule...

vendredi 23 mai 2008

Fatal Picard...


Vin di dou!!! C'est vraiment fou je les adore!!
Deja Picardia independenzia!!!je m'en remettais pas...comme j'etais un peu déprimé aujourd'hui je me suis acheter le dernier l'album public 2008 !!! TROP TROP TROP bien... Je ris vraiment bcp avec eux... un vrai plaisir.
Vous le conseil fortement!!!rien que pour le fun si vous aimez le rock indé-débile!!! mdrr

PICARDIE AU POUVOIR, PICARDIE PRESIDENTE

jeudi 22 mai 2008

...

Décidement, je suis tres prolifique aujourd'hui...je pense donc je suis dans mon cas je dirai je suis si j'aime mdr...
J'ai bien reflechis, l'amour c'est vouloir etre avec quelqu'un, tenir a lui , avoir de l'affection envers lui...mais aussi l'habitude d'etre avec...je pense que l'habitude ne tue pas l'amour, il le provoque...je suis une passionée moi, je vis la vie a 200km/h, j'adore resentir le frisson des baisers, la tendresse d'une caresse...mais en faite cela ne me fait de l'effet que si l'autre me plais...
Je vis par l'amour ... je vis en appartenant a quelqu'un meme un tout petit peu...je dis pas que je vais sauter sur le premier venu..ça serai faut...il me fodra encore un peu de temps pas pour oublier Gaby, non ça je l'oublierai jamais, tout ce temps avec lui est une benediction, mais pour pouvoir vouloir encore vivre.

Je ne sais plus si je t'ai remercier Gaby...pour cette vie que tu m'as offerte ;o)
alors merci petit ange et m'oublie pas.

mercredi 21 mai 2008

?


En me réveillant ce matin, s'était tout bizarre, comme si mon âme avait pris conscience de tout ce qui m'arrive enfin...un petit moment de tristesse, je n'ai lâché qu'un larme je deviens forte.Je dis toujours quand on tombe de cheval autant remonter en selles mais pas cette fois...ce n'est pas que le cheval soit différent,c'est que je ne me comprends pas, enfin je comprends pas mon coeur...C'est quoi aimer... j'ai toujours penser connaitre le sens de ce mot mais maintenant j'ai des doutes.
Ne confondrai-je pas forte affection et attachement a de l'amour....mais c quoi l'amour? Je sens que cette question va hanté ma journée...avancé toujours plus loin , tjrs plus haut.
Des fois je me dis que je preferais etre une fourmis , ça pense pas a tout ça , ça n'a pas de notion de soi...si je me perdais dans la meute ce serai bon.
Je raconte vraiment n'importe quoi ce matin vraiment!!
Enfin, je me sens un peu seul, de toute façon je me suis tjrs senti seul, meme au milieu de la foule.
Mais la le sentiment est different, quand je sais que je suis avec quelqu'un, je me dis tjrs qu'il doit penser un peu a moi...et je me sens rassuré.
C'est idiot pcq des gens qui pense a moi , il y en a je c...tout mes amis...
L'amour...en faite j'ai resenti ça qu'une fois, ce besoin d'abandon a l'autre, tout croire de lui, tout vouloir faire pour lui, ne pensé qu'a lui , une affection tres forte, j'aimais parler avec, être avec on ne faisait qu'un si souvent...et ça fait deja un an...
C'est vrai j'exagere , j'ai bcp aimé certain autre aussi...mais moins absolu, la perfection relationnel je ne l'ai connue qu'une fois, même si ma dernier relation en date etait genial et que je tombais amoureuse en rien elle ne valais l'autre.(mais je l'aurais bien continué encore un peu ;o) ).

Il y a des choses dans la vie immuable, je peu sortir avec des hommes sans les aimés...je m'y attacherai tjrs un peu , et je survivrai toujours a leurs depart...si j'ai survecu il y a un an , rien ne me tuera.
De toute façon rien ne changera, je ne peu rien y faire juste supporter le poids de la vie. Je veux rejoindre encore un peu mes etoiles aupres de leur chaleur je me sens bien.c'etait sans nulles doute la , une chose merveilleuse, j'ai remonter cette pente glissante grace a gaby, même si je sais qu'il n'avait pas le choix, j'aurai pu finir de grandir encore un peu j'ai l'impression de n'avoir pas eu le temps de finir ma mue.

Mais qu'est ce que l'amour?et comment on s'en debarasse?
1 an c'est long et c'est pas finit...

FINI

Voila, ma jolie histoire avec Gaby c'est terminé hier soir, c'etait vraiment un moment tres triste pour moi, vous savez tous a quel point je l'appreciais bcp.
Voila, je suis de nouveau celibataire, je savais bien que ça arriverai en aout mais la c'etait un peu prematuré j'avais encore besoin de quelqu'un aupres de moi , encore un peu je m'etais pas encore tt a fait remise de ...enfin vous savez. En plus maintenant, en mai , encore, comme l'année derniere...je vais hair ce mois vraiment....
Voila je vais pas m'etendre plus sur le sujet...cela est deja assez difficile je garderai tt ces moments de bonheur au fond de mon coeur pour devenir encore plus forte ... j'y arriverai un jour a atteindre mes étoiles.

Voila une dernier photo de lui pour qu'il reste gravé dans ma memoire comme l'un des meilleurs moment de ma vie.


---------------------------------------------------------------------------------------

J'ai vécu un rêve même si je le savais ephemère
je n'etais plus un être solitaire
rattaché a la vie
deja elle s'enfuis

J'avais remis les pieds sur terre
j'avais décroché mes fers
je renaissait a la vie
un peu plus avec envie

Oui,je sait que les anges ne restent pas sur terre
Oui je sait qu'un jour ils s'eloignent de notre enfers
Mais pourquoi si vite, pourquoi deja
Pourquoi je ne peu pas partir avec toi.

Utopie irréalisable
folie indétronable
Il était encore trop tot
j'avais encore besoin de rester au chaud

Ma mue a été trop vite brisé
ma metamorphose n'a pas s' achevé
je reste un embryon mal formé
je reste un etre etheré.

dimanche 18 mai 2008

Fiesta

Hier soir, j'ai fêté mes 26ans avec tout mes amis proches,tout ceux en qui j'ai total confiance!
C'était une soirée sur le thème des pirates ;o), vraiment je me suis bien amusée!!
Maintenant je sais a quel point vous me connaissez tous et cela me touche vraiment beaucoup.
Merci a tous pour ce merveilleux moment...
Ninie pour ton soutien , ton aide et ton amitié précieuse
Erynie et Romain pour votre joie de vivre, vos éclats de rires et parce que c'est vous!
Gé et Vincent , merci d'avoir été la alors que je sais que tu es en examen , merci de me donner toujours autant d'amitié et de soutien tout les deux.
Eife, Damien et Louise merci a vous 3 , même si je ne vous connais que depuis peu, je sais que je peu avoir confiance en vous et je suis heureuse de vous compter parmi mes amis.
Et bien sur Gaby, merci a toi,pour avoir été a mes cotés, m'avoir supporter et tu en as du mérite!!!merci pour toute ton affection, ton soutien et tendresse, mon plus beau cadeau d'anniversaire est sans nulles doutes le fait que tu ai été la.

samedi 10 mai 2008

Anniv

Voila demain le 11mai j'aurai 26ans...et je vais passer cette journée seule.
Et c'est la première année que ça m'arrive , ça fait bizarre...je sais que ma famille la ou elle est pensera a moi...mes amis aussi, mon cheri j'espère mais moi ici je serai seul...j'en ai deja le blues, je sens que l'inspiration va venir ;o)
En attendant je regarde cette tite foto, ça me donne du baume au coeur.

samedi 26 avril 2008

Bonheur

Le bonheur, selon Rousseau, est à la portée de tout le monde, car il réside dans la vie courante,
à condition de savoir le saisir. Il dépend de la sensibilité et de l'intensité avec
lesquelles l'événement est vécu mais pas de l'événement en soi. En attachant de l'importance à la nature
et à l'expression de soi, Rousseau fait siens l'émancipation de l'esprit, l'affirmation de l'individu et
plus généralement le droit au bonheur.

---------------------------------------------------------------------------

Allongée dans l'herbe folle
je regarde le ciel noircit par la nuit
la bise légère me frôle
un peu de bonheur m'envahit.

Je laisse mon esprit vagabondé
sous la clarté du ciel étoilé
je ne veux penser a rien
car penser procure du chagrin

vive pour vivre ne sers a rien
vouloir juste être bien
n'est pas a tous permis
et de ce la j'en fait partie

Des rivières naissent dans mes yeux
mon coeur est retourné vers ses aveux
je ne veux pas me souvenir
je ne veux pas revivre le dernier sourire

Que la nuit emporte tout,
ma tristesse, ma mélancolie
avant que je devienne fou
je lui cède même la vie.

une étoile vient de disparaitre au firmament
emmène moi , prends moi pour amant
ne me laisse pas m'éteindre ici
je veux te rejoindre la ou t'enfuis

Au milieu des etoiles sans nom
dans un gouffre noir et profond
j'essayerai de te redonner une etincelle
petit etoile pour que tu me veille.

Je donnerai amour et passion
meme a toi qui n'a pas de nom
ne me donne rien en echange
juste un sourire petit ange.

Le bonheur que l'on peu lire dans tes yeux
vaut tout les amours,pardonne tout les adieux.
je ne disparaitrait pas moi aussi
meme si j'ai souffert meme si je suis salie

Je me releverai de la mort
je me releverai encore et encore
pour te montrer qui je suis
et la nuit maintenant est partie

Le soleil nait a l'horizon,
le bonheur la joie, je recouvre la raison
j'ai compris ce que je voulais pour ma vie
juste un petit bonheur dans tes bras me suffit.

jeudi 24 avril 2008

jeudi 10 avril 2008

Spleen

Vie égoïste au travers tragique
Angoissante folie, dramatique
je m'évertue a vivre sans joie
vivre parce que je le dois

Pas d'envie , pas de désir
et pourquoi faire, pourquoi sourire
Le bonheur apporte la tristesse
car on nous l'offre pour qu'il disparaisse

Même le soleil vient me narguer sournois
offrir sa chaleur quand je ne le vois pas
et se cache a ma vue le reste du temps
pour que la mélancolie agrémente mon tourment.

Spleen en mon âme et conscience
soupir ultime de ma reminescence

dimanche 6 avril 2008

Unicité



un regard, une etincelle
la douceur d'une caresse
un soupir febrile
une etreinte de tendresse

corps contre corps
plus rien n'existe
ni la vie ni la mort
seul les soupirs resiste

immuable sentiment
de deux etres qui ne font qu'un
pour une seconde pour cette instant
ou l'on s'appartient.

Merci pour ce WK ;o)

Différent



Bohème en ce monde
je me ballade ingénue
infidèle aux croyances immondes
je reste seule au milieu de la foule inconnue.

Les gens autour de moi s'affolent
dans une vie on ne peut plus folle
court , crie, s'évertue
à en faire toujours plus

je ne comprend rien a ce monde
je reste dans ma ronde immonde
seule au milieu des hommes
seule incomprise je m'isole

Dans ma tête, rien ne va
je vis ce que l'on ne voit pas
un rêve, une utopie
enfermé dans mon esprit

le cadenas n'a plus de clef
je préfère être enfermée
autiste , à cet univers
je préfère vivre dans mon enfer

jeudi 3 avril 2008

Arrache coeur


Mon poitrail me fait mal
comme un étau qui se resserre
sur mon coeur en bataille
l'infanterie se libère.

Il est descendu l'ange des enfers
aux ailes bordés de noirs
dangereux émissaire
il m'entraîne dans son isoloir.

Les mains sur mon corps,les lèvres sur mon âme
il arrache mon coeur et me noye dans mes larmes
ses paroles doucereuse, son ton indécent
me blesse encore plus amèrement.

Venue me faire souffrir au dernier instant
de ses phrases ambiguë, devenant mon amant.
Il détruit les traces d'humanité
pour dans la pénombres enfin m'emporté.

De mon corps ainsi meutri
il ne reste que sombre folie
un être inanimé gît ici
mais le coeur est parti avec lui.

samedi 29 mars 2008

mercredi 26 mars 2008

Libération

Je marchais sans but dans une ruelle noir
ayant perdue de vue la lueur du phare
personne a qui parler seulement le vent
qui refroidit ma chair de son glacial chant

Egarée dans la nuit,
je finis accroupie
et la pluie me transperce de son flot
incessant et morne,triste sanglot

La mort m'appelait, ma mie,
mon être s'engourdis
quand soudain des bras enveloppant mon corps
m'arrachant a mon triste sort.


D'une douceur sincère il rechauffa mon ame
Ses ailes de pourpres et d'argent atteignirent mon coeur
me soulevant de la terre ,décadente et sale
pour m'emmener au sein du bonheur.

Plus de corps, plus de souffrance
douce et tendre délivrance
Juste vivre pour lui
en enfer ou au paradis.

mardi 25 mars 2008

Illusion éphemère


Assise devant mon miroir,
je regardais mon reflet
quand soudain l'image se terni de noir
et enfin disparait

Ne laissant a mon regard
qu'une silhouette imprécise aux yeux hagards
traits sec et cheveux filandreux
je ne pu croire que cette image soit le fruit d'un hasard malchanceux

Ce spectre venant de six pied sous terre
semblait venir me crié misère
a moi qui admirai mon reflet
qu'un jour je serai ce qu'il est

Oublions des aujourd'hui,
parures et beau habit
car la beauté qui est offerte sur terre
n'est rien de plus qu'un rêve ephémère.

J'arborai la beauté du coeur
celle qui par dela la mort demeure.

vendredi 21 mars 2008

...



Mon coeur meutri et mon corps a demi mort...
je pensais que vivre était un tort
Mais le courage me manquait de finir ainsi
de mes propres mains terminer ma vie.

Une étincelle a atteint mon coeur
une flamme m'a réchauffé de sa chaleur
réveillant en moi des sentiments enfoui
caché au fin fond de mon être meutri.

Au creux de tes bras je redécouvre l'envie
au près de toi, je vis pour une vie.
Même s'il est ephemère ,
ce bonheur est tout ce que je veux
un rêve solitaire
même s'il se vis a deux.


Merci Gabriel, grace a toi j'ai envie de vivre a nouveau
meme si ce n'est que pour un temps ta presence me fait du bien.

mercredi 19 mars 2008

reverie solitaire




une lumiere m'appel labas dans le loin
un phare qui sintille , un peu plus un peu moins
blafarde et fragile
comme une perle de rosé
rechauffante et gracile
je la desire a mes cotés.
Enveloppé dans ses ailes de velours
au regard ingenue
il me sourie ange déchu
moi qui suis devenu aveugle et sourds.
Je sens sur moi pesé sa tendresse
douceur celeste
qui me ramene sur la voie du pardon
qui me ramene a croire en son nom.
Un ange a visité mes reves
j'ai recouvré la raison, ma joie
la tristesse m'accordera une treve
tant qu'il restera pres de moi.

jeudi 13 mars 2008

dernier soupir


Mon dieu, ou mon diable
a qui dois je me voué
Quand dans ma vie inacceptable
mes fautes viennent me hantées.

Pourquoi n'avoir pas suivi son coeur
a qui dois je mes fautes mes erreurs.
Mon âme veut quitté son écrin,
rejoindre a jamais le lointain.

Me liberer des contraintes!
Eteindre en mon coeur toutes ces plaintes
j'aimerai tellement les maudire
tellement les hair.


Laisser la mort, mon amie, ma mie,
s'occuper de mon corps maintenant que tout est finit
a elle qui ne m'a jamais abandonné ,
a elle qui est au dernier moment a mes cotés.
Je lègue mon corps , mon ame et ma vie
prend et fais ce que le coeur t'en dis.

lundi 10 mars 2008

Sophie


A sophie , un ange parti bien trop vite!
Tu étais pour moi une amie, une confidente, une soeur , une mere tout ça a la fois et même tellement plus.
Tu laisse un tel vide en nous tous, toi qui nous a tous reunit dans cette magnifique famille qu'est aphro.
Je te dois tellement de bons moments, j'ai eu la chance de rencontrer un ange sur terre j'aurai tellement aimé que tu reste plus longtemps avec nous , on avait tant de choses encore a partagé tous ensemble, tant de fous rires mon dieu qu'ils vont me manquer tes eclats de rires , tes conseils ton soutiens...

Je sais tres bien que sans toi je ne serai pas la aujourd'hui ,j'aurai aimé te rendre la pareil , te soutenir moi aussi, t'aider. J'espère que mes pensées t'atteigne la haut, et je sourirai pour toi autant que possible, je vivrai , je rirais en souvenir de toi, pour que la joie et l'amour que tu nous as donné ne sois jamais oublié et sois transmisse aux autres comme tu l'a fait pour nous.Un ange est monté au ciel et je sais , de la haut tu veilles sur nous tous...
Tu nous manques deja tellement..

l'ile du diable : chapitre 1 parti 2


***


Il se baladait sur le rivage comme chaque jour a l'aube, rituel qu'il aimait le plus, bien loin de l'agitation des hommes. Des débris d'arbres et de bateaux s'étaient échoué en masse après la tempête d'hier soir, tout n'était que dévastation ce qui d'ailleurs contrastait étrangement avec le chant serein de la faunes alentours.
Au milieu des débris , un détail attira son attention, il n'était pas rare de voir les restes de bateaux détruit sur la barrière de récifs échoué sur la plage.
Mais cette fois la mer cruelle avait ramener avec elle un corps, une fillette d'une 12aine d'année tout au plus, jonchait un tas de planche.
Il s'approchait de du corps, et fus étonnement surpris, elle respirait encore faiblement, la poitrine se relevant a peine. Elle avait du lutter contre la mer assassine des heures durant mais elle vivait encore. Tant de force dans un être si petit, il la saisit avec douceur l'enveloppant de sa chemise et l'emmena avec lui.



****


Un fumée familier ce rependait dans l'air, une odeur acre et subtil qui réveillait en moi un appétit féroce. Doucement j'ouvris les yeux, j'étais dans un lit mais rien autour de moi ne me semblait familier,qui donc était cet homme debout devant ses fourneaux, son visage ne me disait rien.
Un autre homme beaucoup plus jeune que le premier, une vingtaine d'année a peine, son corps déjà bien batik était celui d'un homme qui avait déjà bien vécu, de longs cheveux noirs descendait au niveau de ses épaules comme les ténèbres sur la plaine.
Ses yeux était bleu , profond comme l'océan , attablé il regardait par la fenêtre, une pipe a la main, la fumé s'échappait doucement de sa bouche en un petit filet de brume.

«- Tiens , not'e petit rescapé est réveillé Cap'tain.
Oui Namur, je vois ça... »
Celui qu'il avait appelé capitaine, ce leva doucement et vint vers moi...il se déplaçait comme un félin, avec souplesse , douceur..
« -Bonjour jeune fille. »

je le regardais ahurit sans trop savoir répondre.

« -Je suis le Capitaine Louis Verdiere, et tu ici chez moi, sur l'île du Capricorne.
Et toi, tu t'appel comment... »

Cette question anodine me glaça le sang, je m'appel comment?qui suis-je? D'ou est ce que je viens?
Toute ces questions affluait dans ma tête mais je n'avais aucune réponse a donner , j'étais perdu.

« - Je ne sais pas, je ne me souviens de rien
Et bien le choque a été trés violent semble-t-'il, il portait se médaillon autour du cou lorsque je t'ai trouvé échoué sur la plage. »
Il me tendis un petit médaillon de bronze, avec un lys gravé dessus, au dos de celui ci on pouvait lire « Mickaella »

«- Mickaella....
Ça serais un trés jolie nom pour toi non... »

C'est ainsi que je fus baptisé de nouveau, moi la nouvelle habitante de l'île du Capricorne, petit île dirigé par le Louis Verdiere, Capitaine de la Méduse un navire... Pirate.

Louis, me fis visiter le village ou résidait son équipage, une véritable communauté vivait en ses lieux.
Des hommes , des femmes et des enfants, toutes sortes d'individus avait élus domicile dans cette petite île, dans ce refuge au milieux de nulle part.
Namur le vieille homme que j'avais vu a mon arrivé était le doyen du village, il avait navigué sur les mers autrefois mais depuis quelques années il s'était installé ici dirigeant la communauté en l'absence du Capitaine.

Les semaines passait ainsi, auprès de cette homme que j'admirai tant , je découvrais la vie, la nature et la piraterie.
Il me traitait comme sa princesse, passant tout le temps dont il disposait avec moi, je me sentais sereine au creux de ses bras. La vie auprès de lui semblait comme un rêve.
Il était si merveilleux, sa prestance était royale, j'aimais a me balader auprès de lui , nous restions des heures a regarder la mer depuis la pointe Ouest, il me racontait ses histoires de pirateries, ses combats contre la marine royale et moi je buvais ses paroles accroché a ses lèvres j'étais si bien auprès de lui j'aimerai que ses jours sois éternelles.

dimanche 9 mars 2008

Life is a boat

l'ile du diable : chapitre 1

L'ile du capricorne



*


Mon père avait décidé de conquérir le nouveau continent, comme tout les bourgeois de mon pays et de mon époque, il disait que c'était : " l'appel du nouveau monde, richesses et liberté ".
Il était veuf et cela depuis ma naissance, hélas ma mère était morte en couche et je sais qu'il ne s'en consola jamais.
J'étais devenu, en grandissant, ce qu'on pouvait appeler une enfant modèle, je m'occupais de notre demeure ainsi que de la boutique de père afin de lui faciliter la tâche.
Malgré tous mes efforts j'avais l'impression qu'il cherchait à retrouver en moi ma mère. Il m'en voulait inconsciemment sans doute, mais pour lui je serais toujours coupable de cette disparition trop rapide.
Jamais un jour ne passa sans que je sentis dans ses caresses, dans ses baisers, l'étreinte amère du regret qui les rendaient plus tendrement désespérés.
Je lui avais ôté son unique amour, comment après cela pouvait-il encore m'aimer ? Je me haïrais si je pouvais le faire, si j'en avais le courage …

Le 19 mars 1545 (je m'en souviens fort bien car ce fût en ce jour que bascula ma destinée), nous embarquâmes à bord de "l'Espérance", un navire de notre bon roi François Ier qui allait exaucer les vœux de richesses et de liberté d'une centaine de colons en les emmenant dans cet endroit qu'on appelait "Nouvelle France" en province d' Arcadie.

**

Le quai était sombre et plein de monde, le soleil se levait tout juste lorsque nous arrivâmes à l'orée du port du Havre.
A l'instant où je mis pied à terre le soleil naissant éclairait la grande voilure du navire, les voiles blanches étaient empreintes d'une couleur ocre et semblaient s'embraser à chaque fois que le soleil y posait ces rayons.
" Quel immense bâtiment ! ". Cette remarque m'échappa et mon père me sourit. Comme j'étais naïve, le premier navire, que je voyais, était là devant mes yeux, faisant face au soleil dans toute sa splendeur, et moi je n'y voyais qu'une vulgaire bâtisse.
Le quai s'anima plus vivement encore avec les premiers rayons, que de bruits, d'agitations. Des centaines de marins chargeaient le navire de toutes sortes de choses, bétail, graines, eau, nourritures … esclaves …
Quelle belle horreur ! Des dizaines d'hommes et de femmes aux teints sombres avançaient vers le navire pieds et poings liés, enchaînés les uns aux autres. Leurs dos courbés, leurs visages amincis par la faim et leurs corps décharnés laissaient apparaître leurs silhouettes osseuses. Le soleil les noyait sous sa puissante lumière, un flot de sang semblait couler de leur peau frappée si durement par l'astre du jour, une rivière rouge, bruyante, qui s'en allait vers les cales de l'Espérance.
Les passagers commençaient déjà à monter à bord. Tirant mon père par le bras, nous nous dépêchâmes de monter nous aussi sur ce navire splendide qui faisait l'émerveillement des pauvres du port.
Une fois à bord, je fis rapidement mon tour d'inspection passant du pont principal à la proue puis à la poupe mais les cales, d'où émanait un murmure incessant, étaient interdites d'accès.
Malgré la déception d'une telle interdiction, je me sentais comme une princesse à bord de son palais flottant.
Le navire partait enfin, je fis de larges signes aux hommes sur le quai comme il en était usage… Mon monde s'éloignait doucement, peut-être pour toujours, laissant place à une mer d'un bleu azur.
J'étais transporté de bonheur, mon cœur battait à se rompre, rien ne me faisait plus plaisir que de voyager comme ça sur les eaux, ce domaine incontrôlable et belliqueux.
C'est un peu comme si j'étais la compagne d'Apollon sur son char de feu voguant vers l'astre solaire.
Je ne pouvais détacher mon regard de cet horizon embrasé, une puissance rassurante m'enveloppait, comme si j'étais la reine des océans…si seulement cela était vrai.

Après dix jours en mer, sous la tutelle bénéfique des dieux, une terrible tempête fit rage.
Le ciel s'illuminait de mille feux sous le chahut sonore des éclairs divins… se déchaînant contre nous pauvre pêcheur au milieu des eaux indociles et vagabondes….
Le navire tanguait avec une violence titanesque. Les marins refermaient les voiles à la hâte et s'affairaient sur le pont principal. On les entendait hurler des ordres depuis les cabines, mais leurs efforts étaient vains et les éléments redoublaient de leur violence meurtrière. Un hurlement couvert à demi par le cri du vent venant de se faire entendre, le marin posté en haut du grand mât venait de tomber, s'échouant au cœur des vagues en furie.
Au bout de quelques heures, ils n'eurent plus guère le choix, il fallut abattre les mâts pour nous donner une ultime chance de survivre. Mais rien n'y faisait, les vagues avaient projeté l'embarcation sur les récifs et l'eau pénétrait désormais habilement la coque.
L'Espérance sombrait dans les eaux tumultueuses, rien ne nous était donc épargnés.
Partout des cris, des hurlements d'hommes et de femmes terrorisés, certains courraient affolés sur le pont, d'autres aidaient les marins débordés. Mon père était de ces hommes, moi aussi je voulais les aidés, je devais le faire, mon père était seul, dehors face à la mort, il aurait besoin de moi…mais une vague submergea le pont et je fus projeté dans l'eau.
Je vis le navire de nouveau submergé par les eaux et brusquement le ligne de flottaisons fut sous le niveau de l'eau, L'Espérance riche et puissant navire finit par être mis en pièce par l'animosité incontrôlable des lames marines. Tout sans exception fut englouti par les eaux noirs.
Mon père, il est… Non !
Et moi seul en mer, ballotté au gré des vagues, luttant contre l'eau et le froid…
Épuisée, je perdis connaissance, du moins je crois…












J'ai connu le paradis,
j'ai connu l'enfer,
liés a la terre par les fers
j'y ai découvert la vie
morne et calme solitude au regard clément ,
dans de long tourments , triste inquiétudes
je reste calme bouddha de marbres blanc.
résigné par les incertitudes.
Acculée a la tache de vivre ma vie,
Devant ces défilés de taches qui éclaircissent l'ennuie.
Je continue a rodé tel un fantôme ingénue,
ayant perdu mes ailes je ne suis que l'ombre de ce que je fus.
Idolâtrons du bas de notre pied d' estale
l'inconnue qui se dresse en dieu indétronable.
Fatal destiné que celle de l'homme qui aurait voulu vivre ,
la vie qu'il a déjà vécu.
Refusant de voir le monde qui évolue ,
attaché a une époque depuis trop longtemps révolu.
je m'entête à rattacher mes ailes,
isolée sur la terre, mortelle...
malgré les paroles des sages,
je détruis tout sur mon passage,
m'enfonçant toujours plus loin dans la nuit
jusqu'à ce que le monde même je l'oublie.


Il est difficile de croire ,

quand cruellement vient le soir,

qu'a la nuit , douce mort,

succedera l'aurore.

Les ténébres ont envahi la plaine ,

des cris résonnent sans peur , ni haine.

Cette atmosphère lourdes de craintes,

étouffe mon ame de sombres plaintes.

Dans cette pénombre j'avance,

esperant revoir ma douce lune.

Rejoins moi donc dans ma danse ,

berçé par ta lumière diurne.

Mais je reste la seule au coeur du monde,

Seul au milieu de ma ronde immonde.

Ma douce amante ne m'est pas apparue

et dans la nuit doucement je ne suis plus.

Les ombres enlèvent mon corps.

Je m'étend sur l'herbe , je m'endors...

Lune , ma mie éclaire moi encore.

Pendant que survint à moi , la mort.

suis moi...


Pendant que certains se prennent à rêver, le regard flou vers la voûte étoilé.

Je marche funambule sur le chemin de ma vie, fine lame acérée .

Alors si tu prends le risque de m'accompagner,

Sur ce chemin jonché de morts et de roses calcinés,

Si tu fais entrer ton regard dans mon âme,

Il y aura de nombreuses larmes.

Dans cet océan de tristesse, suis moi, ne me quitte plus des yeux;

L'eau profonde est douteuse, il n'y a pas de phare, pas de feux.

J'ai touchée des étoiles qui n'ont plus de nom,

J'ai nagée dans les rêves les plus noirs les plus profond.

Quitte tes habitudes, rejoins moi, douce solitude au regard clément.

Renie tes certitudes, ton Dieu, ton Nom, fais toi mon amant.

Toujours en état d' inquiètude, de précise incertitude ...

Deviens amnésique à ton monde.

Suis moi, moi qui n'est plus qu'une robe de soie déchirée,

Ton audace ne sera pas récompensé.

Dieu capricieux enfant, déchirera tes précieuses ailes

En te rendant toi aussi mortel.