dimanche 26 octobre 2008






La dernière feuille de l'arbre est tombé,
étalé sur le sol noyé par la saleté,
Comme la dernière page du livre de ma vie
et le temps passe et tout dépéri

Et le vent souffla , violent de rage
faisant défiler les pages
d'un destin bien trop commun
d'une feuille et d'un humain.

Vivre sous le soleil mais ne pas connaître sa chaleur
caché bien profond, étouffé par ses soeurs.
Se faner quand tout autour rayonne de vie
cruelle vérité,on est seul quand on vit

J'ai attendu l'hiver patiemment
les choses changent peu être quand tout est blanc
Et les feuilles sont tombés
libérant leurs prisonniers
Celle qui n'a pas connu la chaleur de l'été
meurs sous celle de l'hiver.
Et moi comme elle j'ai voulu
J'ai essayé , j'ai vécu

Emprisonné dans ma chair
je m'étouffe je n'en peu plus
J'ai oublier la chaleur de l'amour, comme celle de l'été
glacé par l'hiver de la solitude je meurs abandonné

Comme la feuille qui recouvre mon front ,dans le caniveaux
j'ai vu un rêve j'ai toucher un fardeau
La chaleur du sang qui coule sur ma tempe me rappel un souvenir
un songe aliéné,un délire
les bras d'un homme ou l'été était la
mais il s'effile trop vite , de tout ça j'étais las

dimanche 12 octobre 2008

D'un revers de main tout fut balayé,
un coup d'estoc, un coup d'épée,
Comme une tornade sur ma vie
en un instant tout était finit

Une seule parole avait bouleversé mon âme
brisé la frontiere que j'avais placé devant mon coeur
même si je me prepare au pire et a ses malheur
je reste une simple femme.

Je croyais que rever et sourire
supprimerai douleur et martyr
mais rien ne peu combler se vide si profond
ce gouffre ou se jette mes espoirs a l'unisson.

Marchant sur le fil de la lame
aiguisée , hache de bourreau,
J'essaie de ne pas tomber
Toujours a quelquechose me rattacher.

Las a l'infinie , poignarde moi
pour une fois mon ami
laisse moi me reposer enfin,
plus de souffrance , plus de chagrin